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Partenariats

La majorité des membres du groupe sont des chercheurs de l’INSHS: l’Institut des sciences Humaines et Sociales du CNRS. Les autres sont employés par différentes universités franciliennes, notamment l’Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, par INRAE (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) ou par l’Ecole Nationale de Ponts et Chaussées. Nous sommes en relation étroite avec notre groupe jumeau « Sciences du Comportement » au Centre d’Economie de la Sorbonne, avec lequel nous organisons des ateliers. Pour les besoins de différents projets de recherche, d’autres partenariats se nouent.


Chaire Ouvrir la Science Economique

Hermès et PSE – Ecole d’Economie de Paris ont créé la chaire de recherche « Ouvrir la Science Economique » (OSE), portée par Jean-Olivier Hairault et Jean-Marc Tallon (membre du Groupe Thématique), respectivement directeur et directeur de la recherche de PSE. La chaire OSE soutient notamment deux projets de recherche ouvrant l’économie vers d’autres disciplines, et portés par des membres du Groupe Thématique « Comportements, bien-être et normes ».

Approches croisées de la décision (Nicolas Jacquemet et Jean-Marc Tallon).

Economie et philosophie (Marc Fleurbaey et Jean-François Laslier). Ce projet s’inscrit dans le prolongement du précédent projet « Economie et philosophie » décrit ci-dessous.


Chaire Hospinnomics

L’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et PSE-Ecole d’économie de Paris se sont associés courant 2014 pour créer hospinnomics, une chaire en économie de la santé centrée sur l’innovation à l’hôpital. Hospinnomics mobilise les compétences des économistes au service d’une prise de décision éclairée. Elle contribue à développer l’évaluation et l’expérimentation pour optimiser toutes les ressources disponibles au service du patient.


Economie et philosophie

L’économie et la philosophie sont en interaction sur plusieurs sujets : la justice sociale, le choix collectif et la démocratie, la rationalité de la décision, les formes de l’évaluation. Cette interaction fonctionne sous une forme parfois très directe (co-signatures d’articles ou livres) mais plus souvent sous forme d’inspiration mutuelle sur des approches (les grandes tendances en philosophie politique inspirent les principes d’équité introduits en économie ; les modèles de décision en incertitude inspirent les philosophes s’intéressant à la rationalité ou aux inégalités) ou à propos de problèmes théoriques (paradoxes et impossibilités) ou appliqués (environnement, climat, population).

PSE entend jouer un rôle moteur pour une collaboration interdisciplinaire éco-philo portant plus spécialement sur des questions ayant une pertinence pour la décision publique : développement durable et environnement (enjeux de long-terme pour l’humanité), démocratie et partage du pouvoir, mesure du bien-être, décision en incertitude (y compris incertitude normative), enjeux de santé publique. Tel est l’objet du projet collectif « Economie et Philosophie » qui prend la suite du projet « Economie normative : Ethique, normes sociales, comportements individuels et choix collectifs » qui s’est conclu en 2020.

Responsables scientifiques : Franz Dietrich, Marc Fleurbaey, Jean-François Laslier, Stéphane Zuber


Approches comportementales des interactions stratégiques et sociales

Ce projet collaboratif vise à développer les approches comportementales de la décision stratégique. Les travaux développés dans ce cadre allient les méthodes de l’analyse théorique traditionnelle et de l’économie expérimentale aux outils d’analyse issus de la psychologie. Sur le plan institutionnel, ce projet vise à encourager les collaborations entre le groupe d’économie comportementale de PSE et le groupe d’économie expérimentale du CES (Université de Paris 1).


Economie normative : Ethique, normes sociales, comportements individuels et choix collectifs

L’objectif de ce projet collaboratif qui s’est conclu en 2020 était de développer la recherche en économie normative en prenant mieux en compte des aspects pertinents des comportements et choix individuels et en discutant comment les normes sociales peuvent et doivent être prises en compte dans les décisions collectives. Ce projet, résolument interdisciplinaire, se situait à l’interface entre économie, sciences du comportement, sciences politiques et philosophie.